Send Message to GPPA69
Démarrage de la série
Un homme rendre dans une salle assez sombre, seule une petite fenĂŞtre laisse rentre un peu de lumière, il met en place une vielle table en bois, usez par le temps et gondoler par l'humiditĂ© de la pièce, il y avait mĂŞme quelques crevasses qui avaient Ă©tĂ© causĂ©s par une fuite d'eau, il met trois chaises au tour et vient s'installer Ă la fenĂŞtre en tournant le dos Ă la porte et essaye de regarder ta travers le verre qui Ă©tait très sale et l'eau qui avait sĂ©chĂ© rendre la visibilitĂ© encore plus difficile, l'homme essayer de voir, s'il voyait les personnes qu'il attendait.Â
En revanche, cela était impossible de distinguer quoique ce soit à travers la vitre, alors l'homme attend quelques minutes jusqu'à qu'il entend la porte s'ouvrir difficilement et en fessant un bruit de couinement, à ce moment-là l'homme se retourne rapidement et voie son patron accompagner de son assistant rentrée dans la pièce, son chef avait le regard noir et l'on sentait son énervement à la situation, à laquelle on venait de lui annoncer, l'homme commencer à être en stresse, car la situation à laquelle il devait faire face, pouvait faire basculer sa vie et de plus, être de ce monde, le patron entame la conversation
Patron – c'est une blague, j'espère ? " en croisant les bras "
L'homme – je suis sincèrement désolé patron " tous paniquaient "
Patron – mais qu'est-ce qui ses passĂ©s ?Â
L'homme – la personne que votre adjoint avait choisie et partie avec tout l'agentÂ
Patron – et comment a-t-il fait pour s'enfuir ?
L'homme – il a pris un bateau et nous a fait croire qu'il allait chercher des autres personnes, mais il n'est jamais rentré, ça fait déjà trois jours
L'adjoint – je vous avais dit, patron, que j'aurais dû m'occuper de ce poste
Patron – " étonner " ne commence pas toi, j'ai besoin de toi pour autre chose
L'homme – " paniquer de la situation " que fait-on patron ?
Patron – " très agacé " tu vas aller me trouver quelle qu'un d'autre et cette fois-ci, on va mètre en place de quoi pas se faire avoir
L'homme – " un peu inquiète " très bien patron je me, mais en route et je vais vous trouver quelqu'un, qui ne fera plus cette erreurÂ
Patron – "le patron prend un air assez sĂ©vère " tu as plutĂ´t intĂ©rĂŞt si tu ne veux pas finir dans un trouÂ
L'homme – " quelques gouttes glisse le long de son front " oui très bien, je vais faire tout ce qu'il faut pour que cela ne vous arrive plusÂ
Après cette discussion, le patron et l'adjoint quitte la pièce en laissent la porte ouverte et laisse l'homme reprendre ses esprits et qui essuyer son front avec le bas de son tee short et commence à réfléchir à la situation dans laquelle il était, il n'avait pas beaucoup de temps pour réaliser ce que lui avait demandé son patron, après avoir fait les cent pas dans la pièce, il lui vient une idée, mais il n'était pas sûr de pouvoir accomplir cette tâche, alors il ne perd pas de temps et quitte à son tour la pièce d'un pas rapide pour se rendre sur les quais, il traverse pas mal de pièce, sombre et infester de toile d'araignée avant d'arriver à l'extérieur et traverse un ponton fait de rondin de bois, on entendait les bruits de vague se casser contre le ponton et qui a failli faire tomber notre homme, qui ses rattrapés de justesse a la barricade instable, qui a suffi pour éviter la catastrophe, il finit par arriver devant un bateau
L'homme – aller, capitaine, lâcher les amarres " d'un air très pressé "
Le capitaine – oui monsieur, où allons-nous ?
L'homme – sur le continent, il n'y a pas une seconde à perdre
Le capitaine – pas problème, aller tous a son poste et lâcher les amarres, on prend la route du continent
l'Ă©quipage - oui mon capitaine !!!!
Les hommes se mettent à courir dans tous les sens, le temps que l'homme s'assoie et attend que le bateau prendre le largue, le ciel commençait à noircir et l'on sente une odeur bizarre, le bateau commencer à prendre le la vitesse et l'on sent le bateau glisser sur les vagues et se mètre à tanger légèrement, le vent commencer à se lever de plus en plus et les vagues commencer à être de plus en plus grosse et le bateau se balancer de plus en plus donnant le mal de mer à l'homme qui essayer de se tenir pour ne pas tomber, le trajet durant plus d'une heure et l'homme n'en pouvait plus il était bien content d'arrivée sur la terre ferme, il remercie le capitaine et descend du bateau.
Â